Voilà, C: fini...

Vous l’avez sans doute tous remarqué.

Depuis plus d’un mois, Brenthonne-les-Vaches ressemble à s’y méprendre à ceci :

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,
Veuillez nous excuser pour cette interruption
involontaire et momentanée de l’image et du son.

Rassurez-vous. Pas de maladie grave, pas de catastrophe, pas de « J’suis tanné du blogage moi, d’toute façon ça n’intéresse personne, alors... ». Rien de tout cela.

Pas de vacances prolongées non plus. Pas de vacances du tout en fait.
A quoi bon d’ailleurs puisque l’été fut cataclysmique dans tout l’hexagone, notamment par chez nous (le record de pluviométrie étant, au passage, pulvérisé à Thonon-les-Bains).
Dans ces conditions, difficile de sortir les transats dans le jardin et de faire griller saucisses aux herbes et gambas au lard.

Ceci dit, le climat particulièrement orageux du mois de juillet, associé à une petite touche d’inconscience de notre part, nous a quand même permis de griller deux ou trois petites choses à la maison : un modem, une carte graphique, un disque dur...

Notre pauvre disque dur.
Retrouvé tout fumant et partiellement fondu (moitié-moitié) au lendemain d’une nuit d’orage.
Tout a été tenté pour le ramener à la vie, sans succès.
Nous avons même essayé la magie noire, sans succès.

Quelques jours pour remettre l’ordinateur en état de marche, quelques semaines pour se remettre de la terrible disparition de ce compagnon fidèle, et nous voici de retour car, comme le disait si bien l’inoubliable Sacha Distel :
« The show must come on ».

En hommage à notre bien-aimé disque dur trop tôt disparu (avant d’avoir eu le temps de sauvegarder quelques trucs importants en fait), Brenthonne-les-Vaches vous propose de vous recueillir un instant en écoutant sa nouvelle programmation musicale, drapée de noir et de regrets éternels.

Ni fleurs, ni couronnes, les commentaires tiendront lieu de livre de condoléances.