20 juillet 2007

One-eyed test

Il fallait bien que ça arrive un jour.

Après les tests essentiels à base de zombies
Après les vidéos, très pratiques pour meubler quand on ne sais plus quoi dire…
Après les questionnaires en 5, 6 ou 7…
Après les requêtes Google à côté de la plaque…

Madame, mademoiselle, monsieur, cher lecteur, aujourd’hui devant tes yeux éblouis et tes oreilles écarquillées, voici venir…

Le premier «Blind-test 10 titres» de Brenthonne-les-vaches !

Un petit jeu facile et distrayant qui te fera oublier que tu ne trouves strictement aucune réponse au Blind-test ultime de M. Resse, que la bonne époque des concours photo-musicaux de Largonaute te manque, ou que tu as fini très loin derrière le grand vainqueur du premier semestre de Blind-tests chez Dragibus.

Comme je suis plutôt un gentil garçon, je t’ai bien facilité la tâche en utilisant 10 petits morceaux de 20 secondes chacun.
Aucun risque de se perdre ou de s’écorcher les oreilles sur des passages trop courts (de rien, ça me fait plaisir).

Alors attention, à vos marques, c’est parti :



(si ça coupe ou ça crachouille, télécharge)


Trop facile, non ?
Non !?
Vraiment !?

Pas de panique, je veux bien t’aider un peu.
Toutes les réponses, ou presque, figurent dans les archives de Brenthonne-les-vaches et si j’étais toi, je remonterais le temps jusqu’au 17 décembre 2006, au 24 septembre 2006 (spéciale dédicace), au 10 mars 2006, voire même jusqu’au 26 janvier 2006.

Dès que tu tiens quelques réponses pertinentes, à savoir le nom de l’artiste et le titre de la chanson, envoie-moi un mail à :
brenthonnelesvaches[arobase]caramail[point]com

Caramail me fait des misères et les mails n'arrivent plus.

Merci infiniment tout plein d'envoyer ou de ré-envoyer vos réponses à
brenthonnelesvaches[arobase]gmail[point]com

Les réponses et le classement seront dévoilés dans une dizaine de jours.
En attendant, tend bien l’oreille (ou les deux, c’est mieux), n’hésite pas à demander de l’aide à tes proches, à Google ou à Radioblogclub.fr, à me réclamer des indices (on ne sait jamais, ça peut marcher) et surtout… amuse-toi bien !

14 juillet 2007

Pavoisons !

Consternant, scandaleux, indécent.

Malgré la révélation (française bien sur), ici même, il y a tout juste un an, de la grossière supercherie et de la diabolique manipulation que constitue la célébration de la prise de la Bastille, la fête nationale française est toujours agendée au 14 juillet.

Quel dramatique aveuglement de mes chers compatriotes !

Sans doute notre plus grand poète, auteur-compositeur-interprète et guitar-hero de génie qui donna à la France ses plus belles ritournelles et sa plus catastrophique actrice, avait raison lorsqu'il écrivait :

"Le premier qui dit la vérité, il doit être éxécuté."

Ceci dit, le 14 juillet reste une magnifique occasion de voir notre beau pays recouvert de magnifiques drapeaux tricolores.

Quel bonheur de voir notre bel hexagone drapé de bleu, de blanc et de rouge, les couleurs du Paris Saint-Germain du manteau de Saint-Martin et de l'oriflamme d'Hugues Capet encadrant la couleur symbole de l'essence divine de la royauté (relisez le "Da Vinci code" et vous me comprendrez) !

Par un curieux hasard de l'histoire, même les plus Royalistes de nos concitoyens (47% environ) se sont enfin ralliés à notre glorieuse bannière.

Porté par cette magnifique tradition populaire, Brenthonne-les-vaches est heureux et fier de se parer des trois couleurs nationales en vous proposant, chers lecteurs, une nouvelle programmation musicale en bleu-blanc-rouge, dessinant une guirlande de drapeaux tricolores dans le paysage sonore.

Vous y trouverez par exemple, des orchidées bleues, des russes blancs et la lumière rouge du matin ou alors des champs de jacinthes (bleues, bien entendu), des blouses blanches et de petites lumières rouge vous indiquant que les portes sont bien fermées.

Bien entendu, étant donné le caractère éphémère de la Fête Nationale, cette playlist tricolore ne restera pas longtemps à l'antenne et vous aurez la chance, l'honneur et l'avantage, de pouvoir choisir la couleur musicale de la prochaine programmation. Pour cela, glissez votre bulletin de vote dans l'urne à sondage en haut à droite !

11 juillet 2007

Killing time

En attendant que ma cicatrice cicatrise et avant de reprendre le travail lundi prochain, j'essaye d'occuper au mieux mon abondant temps libre en me livrant à diverses activités à la fois divertissantes et enrichissantes.

Je lis. Il faudra que je vous parle un jour de "La voleuse de livres" de Markus Zusak et de "Pièce montée" de Blandine Le Callet.

Je lutte avec l'Araignée contre la désertification des campagnes et la recrudescence du chômage.

J'effectue quelques recherches pour les prochains billets de Brenthonne-les-Vaches.
C'est ainsi que j'ai découvert que mon premier professeur de trombone avait aujourd'hui 72 ans, qu'il était reconnu comme un grand nom dans le petit monde du jazz et qu'il avait accompagné, entres autres, Jacques Brel, Edith Piaf, Charles Aznavour et Nat King Cole.
J'ai découvert également que le fils d'Henri Dès avait été le batteur d'un groupe Grindcore - Doom Metal délicatement nommé "Explosion de caca" et, grâce au Blind-Test "Rap old school" de Dragibus, que Benny B était maintenant bagagiste à l'aéroport de Bruxelles.

Comme Tata Maggie (a.k.a. Dingue Marmotte a.k.a. La Fille aux Craies), je suis devenu un joueur invétéré de Popotamo ; avec un certain succès (12 podiums dont 9 victoires en 12 parties, un bilan à la Lewis Hamilton).

J'essaye cependant de placer des mots un peu moins graveleux que les siens...

Je suis allé voir Shrek III. Belle animation, superbes effets de textures et de lumière, quelques bons mots, Wolfmother, les Ramones et Led Zeppelin dans la bande-originale mais un scénario bâclé, une histoire bancale et sans ressort, des retournements de situations capillotractés et de nouveaux personnages potentiellement intéressants mais très mal exploités.
Grosse déception donc.

Je m'arrache les oreilles de dépit sur le grand Blind-test de l'été d'Hervé Resse.
Deux heures d'écoute attentive, de réflexion intense et de recherches approfondies pour ne répondre correctement qu'à deux questions, ça décourage un peu.

Je vous prépare une playlist spéciale "14 juillet" pour BLVFM. Vous m'en direz des nouvelles, bande de petits veinards. En attendant, profitez bien de l'actuelle playlist "Spéciale reprises 2" car elle n'en a plus pour longtemps.

Je fais quelques tests sur Internet, mais seulement les plus utiles...

Oui, je suis d'accord avec vous. Reprendre le travail me fera du bien...

09 juillet 2007

T.E.G. 18.43%

Changer la vieille 307 pour une 307 neuve : Fait
Changer la porte d'entrée de la maison pour une porte neuve : Fait
Payer les factures reçues récemment (EDF, cantine, téléphone) : Fait

Finir la terrasse devant la maison : En attente
Aménager une terrasse sur le côté de la maison : En attente
Acheter une cabane de jardin pour ranger le bric-à-brac : En attente
Changer la vieille télévision pour un LCD grand écran : En attente
Réserver les vacances au soleil pour l'hiver 2008 : En attente

Finalement, je vais peut-être me laisser tenter...

04 juillet 2007

Liquidation totale au rayon "Quincaillerie"

Cela faisait un peu plus d’un an et quatre mois qu’elles et moi vivions ensemble.
Quatre cent quarante quatre jours pour être précis.

Certes, notre première rencontre avait eu lieu dans des circonstances assez peu agréables. Douloureuses même.
Elles étaient arrivées dans ma vie comme ça, du jour au lendemain, sans y être vraiment invitées. Je les avais d’abord considérées avec agacement mais j’avais fini par m’y habituer, par m’y attacher, tant elles avaient su se faire efficaces discrètes, au point de faire partie de moi. Physiquement.

Je savais pourtant qu’un jour ou l’autre, il faudrait qu’elles s’en aillent, leur tâche accomplie.
Et hier matin, elles sont parties.
Elles sont parties comme elles étaient venues, pendant mon sommeil, sans que je m’en rende compte.

Il ne me reste rien d’elles car il n’a pas été possible de les garder près de moi.
Seuls subsistent quelques clichés, des souvenirs, et une marque indélébile sur ma peau.

Adieu mes six si jolies petites vis.
Adieu, et merci.